Elsa Sahal s’en doutait, sans le redouter : avant le coup d’envoi de l’opération « Le Voyage à Nantes », le 8 août, l’installation de sa Fontaine, place Royale, a suscité un flot de Tweet épidermiques, voire haineux. « Qui va la déboulonner ? », gazouille méchamment le 12 juin une journaliste du Figaro, pendant que se déchaînent les commentaires : « Affreux, horrible, n’importe quoi… » C’est qu’au sommet de cette sculpture en céramique haute de trois mètres, est perchée… une pisseuse.
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